Anatomy of Green Open Access Open Access…

Statut

Anatomy of Green Open Access :

“Open Access (OA) is the free unrestricted access to electronic versions of scholarly publications. For peer reviewed journal articles there are two main routes to OA, publishing in OA journals (gold OA) or archiving of article copies or manuscripts at other web locations (green OA). This study focuses on summarizing and extending upon current knowledge about green OA. A synthesis of previous studies indicates that the green OA coverage of all published journal articles is approximately 12%, with substantial disciplinary variation. Typically, green OA copies become available with considerable time delays, partly caused by publisher imposed embargo periods, and partly by author tendencies to archive manuscripts only perio dically. Although green OA copies should ideally be archived in proper repositories, a large share is stored on home pages and similar locations, with no assurance of long-term preservation. Often such locations contain exact copies of published articles, which may infringe on the publisher’s exclusive rights. The technical foundation for green OA uploading is becoming increasingly solid, which is largely due to the rapid increase in the number of institutional repositories. The number of articles within th e scope of OA mandates, which strongly influence the self-archival rate of articles, is nevertheless still low.”

URL : http://www.openaccesspublishing.org/apc8/Personal%20VersionGreenOa.pdf

Synthèse sur les politiques institutionnelles de libre accès…

Statut

Synthèse sur les politiques institutionnelles de libre accès à la recherche :

“En matière d’archives ouvertes, les politiques strictement incitatives se sont avérées relativement peu efficaces (environ 15% de dépôts plein texte volontaires). Par contraste, les mandats institutionnels, dont le principe est de rendre ce dépôt plus ou moins obligatoire, permettent d’augmenter significativement la participation des chercheurs. Diverses enquêtes ont d’ailleurs montré qu’une majorité d’auteurs seraient disposés à archiver leurs travaux si un tel mandat les y contraignait. Depuis 2003, les mandats essaiment à travers le monde, particulièrement aux États-Unis, mais également en Europe, où l’Université de Liège fait désormais figure de modèle. L’Union européenne, qui via son 8e PCRD (Horizon 2020) devrait rendre obligatoire le libre accès à toute recherche qu’elle finance, recommande l’adoption de mandats à ses États membres. De son côté, le Royaume-Uni semble privilégier la voie dorée, au détriment de la voie verte, avec pour conséquence probable l’envolée des coûts de publication, à la charge des universités. En France, les mandats, défendus par le CNRS et dont l’efficacité a été reconnue et approuvée à un niveau officiel, sont encore plutôt le fait d’organismes nationaux que d’universités. L’adoption et la mise en œuvre d’une politique institutionnelle est un processus de longue haleine : pour qu’elle soit comprise et acceptée par la communauté scientifique, il faut en méditer soigneusement la formulation, l’expliquer aux chercheurs de manière à éviter tout risque d’interprétation erronée, l’accompagner par des actions de soutien et de suivi, proposer des services à valeur ajoutée en rétribution aux efforts d’auto-archivage. Il peut s’avérer stratégiquement judicieux de limiter dans un premier temps l’application du mandat à des laboratoires-relais, dont l’exemple peut avoir un effet incitatif.”

URL : http://archivesic.ccsd.cnrs.fr/sic_00794497

Le libre accès en France en 2012: Entre immobilisme et innovation

Statut

“Pour faire l’état des lieux du libre accès (LA) en France en 2012, dix ans après la Budapest Open Access Initiative, nous avons examiné les deux voies : la voie verte (l’auto-archivage) et la voie dorée (publications dans les revues en LA). L’archive centrale multidisciplinaire HAL, créée en 2002 pour recevoir les publications scientifiques au niveau national, est reconnue pour sa qualité technique, mais elle ne propose que 10% à 15 % de la production scientifique annuelle française. Ce chiffre est à l’image de ce qu’offrent toutes les autres archives dans le monde où il n’y a pas d’obligation de déposer (pas de mandat). Les archives qui ont un mandat comme celle de l’université de Liège, ont atteint un taux de 80% en deux ans. Quelques archives institutionnelles se sont développées en France parallèlement à HAL, et deux d’entre elles (Archimer and OATAO) ont un bon taux de remplissage, grâce à l’implication d’un personnel dédié. Pour soutenir les offres éditoriales en libre accès le Centre pour l’Édition électronique Ouverte (CLEO) a récemment mis en place OpenEdition Freemium. Cette initiative pourrait favoriser le développement des revues en LA. Cependant, l’étude faite à partir des revues qualifiantes en Sciences Humaines et Sociales montre que les chercheurs sont peu encouragés à publier dans ces revues par les instances d’évaluation : peu de revues en libre accès françaises sont présentes dans les listes des revues qualifiantes de l’agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES). On note aussi une forte disparité entre les disciplines. Différents exemples de politique en faveur du libre accès sont donnés : un politique forte peut être menée par des universités, comme à l’université de Liège, ou par des bailleurs de fonds, comme le FRS-FNRS en Belgique ou par l’Europe. Elle peut être entreprise au niveau législatif comme aux USA, au Brésil ou en Argentine. En France les deux voies du libre accès sont tracées par des initiatives intéressantes. Le gouvernement français devrait accompagner ces initiatives et devrait s’investir dans une politique forte pour recevoir rapidement les bénéfices du libre accès.”

“Ten years after the Budapest Open Access Initiative, we have examined the current situation of Open Access in France via the two open access (OA) roads: the Green (self-archiving) and the Gold (OA publishing). HAL, a central multidisciplinary French archive launched in 2002, is recognized for its technical quality, but 10 years after its creation it only includes 10 to 15% of the annual French scientific output. This figure is similar to other repositories worldwide for which there is no mandatory policy (no mandate). On the other hand, archives such as that of Liège University which has a mandate, achieved an 80% deposit rate within two years. Other than HAL, a number of institutional archives are being developed in France, with Archimer and OATAO being two successful examples, thanks to dedicated library staff. In order to support the editorial offer in open access the Centre pour l’Édition électronique Ouverte (CLEO) recently launched the Open Edition Freemium. This initiative should favor the development of OA periodicals. However, the study based on the list of qualifying periodicals in Human and Social Sciences, shows that researchers are not encouraged to publish in these periodicals by national assessment bodies; very few French open access periodicals are on the different qualifying lists of the agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (AERES – French research and higher education assessment agency). In addition, a wide disparity can be observed between disciplines. Different examples of strong policies in favor of OA are given: at the university level, as at Liège university, at the level of foundations, as at FRS-FNRS in Belgium, at the level of the Europe or at the legislative level, as attempted in the USA or Brazil or Argentina. In France the two roads are supported by interesting initiatives and these should be accompanied by strong French government policy to enable the benefits of open access to be rapidly reaped.”

URL : http://revista.ibict.br/liinc/index.php/liinc/article/view/502

Le Libre Accès en 2010 – Nice, Metz, Paris et ailleurs

2010 a été une année de consolidation pour le Libre Accès en France. Le mouvement a confirmé sa place au cœur de la communication scientifique. Une année riche en événements marquée aussi d’une première réflexion sur le chemin parcouru et sur les enjeux à venir.

Or, quels ont été les débats, enjeux, sujets débattus ? L’analyse de trois colloques et journées d’études à Nice, Metz et Paris dégage trois points à l’ordre du jour du Libre Accès à l’information scientifique en France : la stratégie politique à Nice où le campus universitaire se mobilise pour une reprise de la fonction éditoriale, l’approche service à Metz avec la mise en place d’une archive institutionnelle pour et avec les chercheurs, et le projet institutionnel à Paris par l’optimisation d’une archive institutionnelle puissante et exhaustive en cohabitation avec la chaîne éditoriale des revues.

Les trois événements avaient également en toile de fond la question de l’environnement légal et juridique de ce mouvement.

URL : http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2011-02-0085-001

Open Access Repositories in Asia From SAARC to…

Statut

Open Access Repositories in Asia: From SAARC to Asian Tigers :

“This paper provides an overview of Open Access Repository (OAR) initiatives taken in Asian Countries with special reference to SAARC Countries. The purpose of this study is to take a broad look at the current state of deployment of OARs in the Asian countries. It also compares selected OARs against a set of carefully crafted criteria. Key findings have been highlighted along with suggestions for further development of OARs in global context.”

URL : http://digitalcommons.unl.edu/libphilprac/808/

Build it and they will come Support for…

Statut

Build it and they will come? Support for open access in Australia :

“This paper takes a critical look at the Australian open access landscape and analyses the issues with existing mandates and infrastructure through the lens of achieving open access via placing work in institutional repositories. Beginning with an explanation of the funding arrangements for universities in Australia, this paper describes the existing policy structure, the funding for physical infrastructure, how Australian theses are shared and the approach to the management of data as a research output. The second half of this paper takes an analytical view of the policies and repository infrastructure in Australia. This will demonstrate that beyond the basic provision of the tools for open access many issues affect the success or otherwise of an open access program. It will conclude by exploring areas which could be improved to allow Australia to take full advantage of the infrastructure in place to increase open access uptake in the country.”

URL : http://hdl.handle.net/1885/9390

Open Access in Österreich Anmerkungen zur aktuellen Entwicklung…

Statut

Open Access in Österreich – Anmerkungen zur aktuellen Entwicklung und zu den Perspektiven für einen Paradigmenwechsel im wissenschaftlichen Publikationswesen :

“Die Berliner Erklärung über offenen Zugang zu wissenschaftlichem Wissen hat auch in Österreich WissenschaftlerInnen, BibliothekarInnen und Forschungsförderungseinrichtungen für das Thema Open Access sensibilisiert. Mangels einer Initiative auf nationaler Ebene wird das Open-Access-Geschehen in Österreich derzeit im Wesentlichen von der Universität Wien, der Akademie der Wissenschaften und vom FWF – Fonds zur Förderung der wissenschaftlichen Forschung – getragen. Seit Sommer 2012 sind Statements von über 40 österreichischen WissenschaftlerInnen, die als Testimonials ihre Argumente für Open Access formuliert haben, auf der Website des FWF online zugänglich.”

“Open Access in Austria – notes on current developments and perspectives for a paradigm shift in the field of academic publishing. The Berlin Declaration on Open Access to Knowledge in the Sciences and Humanities has created awareness for Open Access also among Austrian scientists, librarians and funding organizations. Due to the lack of initiatives on the national level, Open Access activities in Austria are currently taken on mainly by the Vienna University of Vienna, the Austrian Academy of Sciences and the Austrian Science Fund. More than 40 Austrian scientists have expressed their arguments in favor of Open Access in testimonials which have been available online since summer 2012 on the website of the Austrian Science Fund.”

URL : http://hdl.handle.net/10760/17645