The Open Revolution : Rewriting the rules of the information age

Author : Rufus Pollock

Forget everything you think you know about the digital age. It’s not about privacy, surveillance, AI or blockchain—it’s about ownership. Because, in a digital age, who owns information controls the future.

In this urgent and provocative book, Rufus Pollock shows how today’s “Closed” digital economy is the source of problems ranging from growing inequality, to unaffordable medicines, to the power of a handful of tech monopolies to control how we think and vote.

He proposes a solution that charts a path to a more equitable, innovative and profitable future for all.

URL : The Open Revolution : Rewriting the rules of the information age

Alternative location : https://openrevolution.net/

The Information Process and the Labour Process in the Information Age

Authors : Jaime F. Cárdenas-García, Bruno Soria de Mesa, Diego Romero
Castro

This paper examines how information fundamentally influences the labour process in the information age. The process of becoming human in the labour process brings to the fore the notion of information and our dialectical interactions with our natural environment as
organisms-in-the-environment.

These insights lead the authors to posit that information/ideas are material. Information/ideas are not ethereal/immaterial, as is commonly believed, which does not negate that information/ideas may be abstract.

Taking a fundamental approach serves to discard the concept of immaterial labour and products to posit an undeniable materialist basis for the labour theory of value. More importantly, it serves to point to the immanence of information and labour in the labour theory of value.

URL : The Information Process and the Labour Process in the Information Age

Alternative location : http://triplec.at/index.php/tripleC/article/view/831

 

Les « trois horloges » de la « société de l’information ». De la disharmonie à la rupture ?

Ecrit en 2007, après le Sommet Mondial de la Société de l’Information, organisé à Tunis en 2005, ce texte propose une réflexion approfondie et originale. Il a aujourd’hui, en ce début 2011, une pertinence renforcée qui donne à réfléchir sur notre “Société de l’information”. Avec la mondialisation, les TIC sont devenues prééminentes.

Le « DigiWorld » incluant notamment le secteur des télécommunications, focalisé autour des technologies, connaît une croissance exponentielle. L’horloge technologique rythme la dynamique de la SI à une cadence très élevée. Cette « horloge » imprime le tempo de l’économie mondiale. L’horloge économique suit le mouvement. Les nouvelles lois de l’économie et des réseaux imposent leurs mécanismes. L’économie des réseaux précise en particulier que « les forts se renforcent » et que « les faibles s’affaiblissent ».

Inexorablement. La rupture, visible à Tunis en 2005, entre les différents pavillons du Sommet Mondial de la Société de l’Information, est manifeste. La troisième horloge, l’horloge « humaine et sociale » montre qu’une majorité de l’humanité peine à s’approprier les technologies, à les rendre « utilisables ».

Cette horloge peut-elle être remise à l’heure ou bien les écarts ne sont-ils pas destinés à s’accroître ? L’essor des TIC n’a en aucune façon conduit à une résorption des fractures, contrairement à ce qui a été longtemps annoncé et qui reste une opinion dominante. Les TIC ne sont pas synonymes d’information, de connaissance et, de façon évidente, ne sont pas associées à une qualité de l’information améliorée.

Au contraire, les fractures s’approfondissent. Nous avons montré la disharmonie, la rupture croissante et d’une ampleur extrême entre les horloges technologique et économique d’une part et l’horloge humaine et sociale d’autre part.”

URL : http://archivesic.ccsd.cnrs.fr/sic_00570588/fr/

Guerres de mémoires on line : un nouvel …

Guerres de mémoires on line : un nouvel enjeu stratégique ? :
La mythologie de la société de l’information voudrait que l’interconnexion généralisée des individus et des contenus ait des effets de lissage sur les nouages du nous, au point d’éteindre les anciens conflits de mémoire. Pourtant, on peut se demander si le réseau ne génère pas des formes spécifiques de guerres mémorielles que l’idéologie du Web 2.0 cherche à dissimuler. Mais il faut peut-être tout autant redouter les effets d’une compatibilité globale des mémoires dans l’hypothèse où toutes les opinions, toutes les différences, toutes les singularités auraient bel et bien enfin, droit de cité.
URL : http://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00488408/fr/